Témoignages des parents

« On travaille tous les jours, tranquillement à la maison, quand on veut, 12 à 15 minutes seulement, tout cela sans déplacement, sans fatigue, sans devoir prendre la voiture. » 

 

«Nous avons appris très tard que notre fils était dyslexique. Sur internet, j’ai trouvé beaucoup de choses sur le diagnostic et quelques conseils mais aucun traitement. Jusqu’au jour où je suis tombée par hasard sur la méthode Dyseurope. J’ai appelé, et longuement parlé à Madame Merlivat au téléphone. Il m’est apparu qu’elle connaissait vraiment très bien ce sujet. Son enthousiasme m’a persuadée d’essayer la méthode. Mon fils avait alors 11 ans et demi et était plutôt rebelle à tout apprentissage.

Nous avions déjà essayé beaucoup de méthodes différentes, sans résultat visible. Ce que je redoutais, c’est qu’il ne veuille pas travailler. Je l’ai convaincu de tenter cette méthode pendant une dizaine de jours. Il faut dire qu’il a toujours refusé d’aller chez une orthophoniste car les quelques contacts avec ces personnes ont été désastreux. De plus, quelques-uns de ses copains faisaient des séances régulières depuis des années, très contraignantes, sans progrès mesurables.

Ce qui a été déterminant, c’est les principes fondamentaux de la méthode : on travaille tous les jours, tranquillement à la maison, quand on veut, 12 à 15 mn seulement (sans déplacement, sans fatigue, sans devoir prendre la voiture) ;  on accompagne son enfant, donc on peut suivre de près tout ce qui se passe, et surtout ça ressemble plutôt à un jeu dans lequel l’enfant a nettement plus de réussite que d’échecs (sans parler du prix qui est très bas, ce qui exclut d’emblée tout risque d’arnaque).

Je me suis vite aperçue de l’intelligence de cette méthode, qui « pense » comme les dyslexiques.

À ma grande surprise, mon fils n’a jamais rechigné à s’y mettre. Il a au contraire souhaité avancer vite et est rapidement passé au deuxième livre. Il s’est donné lui-même des petits challenges. Parallèlement, au bout d’un mois et demi à deux mois, ses notes de français se sont améliorées. Il a – enfin !! – décollé du sempiternel « zéro » en dictée auquel il était abonné depuis plus de quatre longues années (rendez vous compte, enseignants des dégâts psychologiques de tels résultats !!).

Petit à petit il a pris confiance dans sa capacité à rédiger et à orthographier. Il bénéficie d’un tiers temps (très durement arraché à sa prof de français après sept mois de négociation – c’est sa deuxième année avec elle). Les notes de dictée sont irrégulières mais la courbe est assurément ascendante : quelques 6 ou 8 sur 20, puis un 12 et même un 16. Enfin, 20/20 en autodictée, ce qui lui a valu – encore enfin ! – un petit mot d’encouragement sur sa copie. On a même ouvert une bouteille de cidre pour fêter ça ! De même il est plus à l’aise en rédaction et finalement dans toutes les matières où il faut écrire. Il a dit lui-même récemment : « mes progrès, c’est seulement à la méthode abc que je les dois, c’est le seul truc efficace ».

Aujourd’hui, mon fils s’est lancé dans la méthode … en anglais, qu’il fait avec Madame Merlivat en séances individuelles téléphoniques et il a récupéré sa motivation. Il dit qu’elle parle beaucoup mieux anglais que sa prof d’anglais et il a beaucoup plus confiance en elle pour progresser.

Je voudrais aussi parler de cette personne de confiance qu’est Madame Merlivat. On sent que son seul souci est votre enfant : -« comment se sent-il ? comment progresse t-il ? est-il à l’aise ? a t-il buté sur un mot ou une règle ? ». Dans ce cas, elle adapte la méthode au raisonnement de l’enfant et aussi à son caractère.

Elle a par exemple entretenu la motivation et l’intérêt de mon fils en nous proposant de faire quelques exercices différents, avec les lettres en carton, ce qui l’a beaucoup amusé.

Dans tous les cas, elle est très disponible, et fait preuve de tellement d’enthousiasme, de professionnalisme, de délicatesse (de discrétion aussi quand il le faut), que c’est un vrai plaisir de collaborer avec elle dans ce but commun : aider mon fils à vaincre sa dyslexie. Ses conseils et sa complicité débordent souvent de la méthode pour s’appliquer au cadre scolaire et il est très enrichissant et rassurant de pouvoir partager ses multiples expériences, internationales de surcroît.

Je finirai avec une seule chose : mamans (ou papas), n’hésitez pas, c’est simple, rapide, pas cher et efficace et vous serez tellement heureux de voir votre enfant reprendre confiance !! »

Armelle R.  (SUISSE)