Témoignages des parents

« Pour l’avoir vécu je sais à quel point on se trouve démuni face à un enfant en difficulté. » 

C’est à partir du 1er trimestre de CP que les difficultés de mon fils dans l’apprentissage de la lecture et de l’écriture sont apparues, j’ai pris l’initiative de faire un bilan orthophonique mais aucune anomalie n’a été décelée à ce moment là.

Et pourtant, tout au long de l’année de CP, l’apprentissage de la lecture et de l’écriture restaient une étape infranchissable pour Guillaume et ceci malgré un travail supplémentaire auquel je le contraignais à la maison, de même que du soutien personnalisé proposé par l’école.

C’est aussi lors de l’année de CP que mon fils a commencé à développer de nombreux tics, des crispations musculaires qui traduisaient une tension, un mal être important.

Dès le début de l’année scolaire de CE1 le décrochage était réel, l’institutrice nous a alors proposée de reprendre les bases de lecture et d’écriture avec la classe de CP (il s’agissait d’une classe à double niveau). C’est à ce moment là que nous sommes allés faire un nouveau bilan orthophonique dont les conclusions révélaient que mon fils « lisait par assemblage avec beaucoup d’erreurs et des confusions visuelles, sans compréhension de ce qu’il lisait. N’ayant pas d’images des mots lus le passage à l’écrit est extrêmement difficile ». Nous avons alors démarré avec des séances d’orthophonie et du soutien scolaire, mais après 3 mois il n’y a eu aucune progression.

C’est alors que j’ai commencé à rechercher d’autres solutions. La méthode crée par « de Haan et Merlivat » ainsi que les témoignages sur le site internet avait retenus mon attention. Et c’est après avoir discuté longuement avec l’Institut que j’ai pris la décision non seulement de mettre en application la méthode Dyseurope, mais aussi de stopper les séances d’orthophonie et le soutien scolaire qui n’étaient pas compatibles avec la méthode.

Nous avons démarré la méthode de Dyseurope au mois de décembre et après 4 mois, les progrès de mon fils étaient incontestables. Et en fin d’année scolaire (6 mois après le début de la méthode), il maîtrisait parfaitement les bases du CP. De plus, ses crispations musculaires (=tics) se sont fortement atténuées, mon fils semble plus apaisé.

Nous sommes actuellement en fin de Livre 1 et nous allons ensuite poursuivre avec le Livre 2 car il s’agit vraiment d’une méthode pour soigner la dyslexie efficace et exceptionnelle. Et je tiens à remercier ses créateurs et en particulier Madame Merlivat.

Catherine B, (Moselle)