Témoignages des parents
« Je suis très satisfaite de la méthode proposée par abc-Dyseurope pour vaincre la dyslexie car en moins de quatre mois, ma fille a fait des progrès qu’elle n’a pas connus après cinq ans de prise en charge traditionnelles. »
«Maman de trois enfants, Sandrine 16 ans, Sabrina 9 ans et Samuel 7 ans, nous habitons la Martinique. Très tôt mon instinct de mère m’a permis de comprendre que mon époux et moi devrions nous occuper de manière particulière de notre fille cadette Sabrina. Nous avons remarqué un léger bégaiement dès son entrée en pré-maternelle à l’âge de deux ans et demi. Notre médecin de famille nous a alors expliqué que ce phénomène arrivait parfois chez les enfants mais disparaissait tout seul et assez rapidement. Rassurés, nous avons cependant continué à observer et à noter les moindres « détails ». Et c’est au cours de sa quatrième année que nous avons décidé en accord avec notre médecin de mettre en place une prise en charge en orthophonie et en psychomotricité, ceci d’autant plus qu’elle se plaignait souvent de maux de tête.
Je me sentais donc en situation d’échec total.
Malgré tous ses accompagnements, Sabrina après avoir passé deux mois au CE1 a dû retourner au CP, décision proposée par la Direction de l’école. En tant que maman, j’ai très mal vécu ce redoublement, tout au moins sa forme ; moi qui croyais avoir pris la précaution d’anticiper, de tout mettre en œuvre pour aider ma fille, la voilà qui redouble après avoir fait presque un trimestre dans l’autre classe : je me sentais donc en situation d’échec total. Elle ne bégayait plus depuis quelques années mais d’autres problèmes avaient surgi ! Ne souhaitant pas que Sabrina soit à son tour trop affectée par ses difficultés dont elle était pleinement consciente et conseillée par le corps médical, sa prise en charge en orthophonie et en psychomotricité a doublé, soit deux séances de chaque hebdomadaire. Elle avait aussi droit à du soutien scolaire.
Je sentais que MA FILLE était capable de mieux.
Malgré l’attention très particulière que lui ont accordée ses maîtresses du CP et du CE1, ses résultats ne me satisfaisaient pas car je voyais que ses difficultés dans certains domaines persistaient, ceci malgré tous les efforts et son côté volontaire remarquable. Je sentais qu’il y avait sûrement un FREIN quelque part. Notre famille souffrait de cette situation. Profitant de nos vacances en Métropole, nous avons donc consulté un spécialiste à Toulouse, Hôpital de Purpan. Quel soulagement ! Pour la première fois, j’ai été informée de ce que souffrait ma fille : DYSLEXIE. Après l’analyse des tests réalisés par Sabrina, ce médecin m’a clairement expliqué les difficultés rencontrées par les enfants comme Sabrina, ce qu’il fallait faire et ce qu’il ne fallait pas faire.
J’ai décidé de franchir le pas.
De retour à Paris, tandis que je faisais des recherches sur Internet, le site de Dyseurope attira mon attention. Je me renseignai sur cette nouvelle méthode et toujours désireuse de TOUT mettre en œuvre pour aider ma fille et j’étais prête à franchir le pas. Pour ce faire, nous avons arrêté toutes nos prises en charge et Sabrina a donc commencé la « méthode de Dyseurope» le 23 août 2010. Depuis, nous avons constaté de grands changements chez notre fille. Elle a beaucoup gagné en assurance, sa lecture est maintenant plus « fluide ». Au niveau scolaire, il y a DES PROGRÈS, elle mémorise mieux, comprend mieux les consignes et réussit mieux et plus souvent. C’est avec plaisir qu’elle nous ramène des notes entre 10/10 et 7/10. Elle est plus joyeuse car avant il lui arrivait souvent de paniquer et de pleurer face à ses difficultés.
Tous ces progrès, ces changements sont le fruit de beaucoup d’investissements.
Les adaptations horaires pour le Soutien Téléphonique, l’option que nous avons choisie. (6-5 heures de décalage) l’investissement personnel de Madame Merlivat de Dyseurope (attendre jusqu’à 23 heures que Sabrina sorte de l’école…) entre autres… Au vu des premiers résultats, je reste très confiante pour la suite. En me relisant, je me rends compte que le nombre de phrases utilisées pour décrire les difficultés vécues est plus important que celui utilisé pour raconter les résultats observés avec la méthode. Cela traduit tout simplement la rapidité avec laquelle nous avons eu des résultats concrets et le temps perdu avant !»
Nicole C (MARTINIQUE)